La terre, matériau si élémentaire de notre monde, peut dans sa simplicité, sa souplesse et même sa finesse, être travaillée très librement pour révéler quelque chose du monde qui nous entoure.
L’humanité, notamment dans sa féminité, la grâce de la danse, ou l’expression changeante de nos visages a quelque chose de beau où l’art peut tenter de traduire l’émotion d’un instant, la profondeur d’une intériorité mais aussi une part de rêve.
Représenter les animaux, tels ceux de la forêt dans leur discrétion, ou les oiseaux dans leur délicatesse et leur fugacité, permet aussi de capter quelque chose de cette beauté de notre monde qui nous échappe parfois dans le rythme de nos vies.
C’est pourquoi Philocalie – amour de la beauté – est le nom que j’ai choisi, car la joie de contempler la beauté, la joie de la révéler et de chercher à l’offrir me guident.